23 maart 2006

Parallel

Ik omarm de slapeloosheid, ik slenter tussen mijn omgestoten zekerheden en ik ga de mist van mijn loze doelen tegemoet. Een drievoudige parallellie die galmt door de gangen van de lege huls, waar mijn hart ooit was, als voetstappen in een verlaten stad, tegen de onverlichte gevels, op de apathische straatstenen.


Ici rien ne se passe
Pas même le temps
Les blessures s'effacent
Lentement

Elle attend le jour
Elle en rêve la nuit
Elle revit son amour
Avec lui

Il n'aurait jamais pu croire
Qu'il était son dernier espoir

Elle danse seule
Elle parle avec son ombre
Elle danse seule
Elle entend sa voix répondre
Et elle s'endord comme ça
Contre le sol trop froid
Elle danse seule

Elle dit qu'il reviendra
Qu'il la fera revivre
Qu'elle est prête déjà
Pour le suivre

Mais à trop regarder
Le bout de cette route
Ses yeux sont fatigués
Par le doute

Comment aurait-il pu croire
Qu'il était son dernier espoir

Elle danse seule
Elle se sourit dans la glace
Elle danse seule
Avec ces bras qui l'enlacent
Et elle s'endort comme ça
Contre le sol trop froid
Elle danse seule


Elle danse seule – Axelle Red

Poëzie_



1 opmerking:

Anoniem zei

ach ja slapelossheid voetstappen die nergens naartoe leiden, die hol kliken tegen de wanden van de gebroken nacht
de wassende maan die verdwijnt achter een huilende wolk, de sterre die zo veraf staan..; je geest die zich als een grijs gordijn over de velden sleept
alleen en dolend...slapeloos