Parallel
Ik omarm de slapeloosheid, ik slenter tussen mijn omgestoten zekerheden en ik ga de mist van mijn loze doelen tegemoet. Een drievoudige parallellie die galmt door de gangen van de lege huls, waar mijn hart ooit was, als voetstappen in een verlaten stad, tegen de onverlichte gevels, op de apathische straatstenen.
Ici rien ne se passe
Pas même le temps
Les blessures s'effacent
Lentement
Elle attend le jour
Elle en rêve la nuit
Elle revit son amour
Avec lui
Qu'il était son dernier espoir
Elle danse seule
Elle parle avec son ombre
Elle danse seule
Elle entend sa voix répondre
Et elle s'endord comme ça
Contre le sol trop froid
Elle danse seule
Qu'il la fera revivre
Qu'elle est prête déjà
Pour le suivre
Mais à trop regarder
Le bout de cette route
Ses yeux sont fatigués
Par le doute
Qu'il était son dernier espoir
Elle danse seule
Elle se sourit dans la glace
Elle danse seule
Avec ces bras qui l'enlacent
Et elle s'endort comme ça
Contre le sol trop froid
Elle danse seule
Elle danse seule – Axelle Red
1 opmerking:
ach ja slapelossheid voetstappen die nergens naartoe leiden, die hol kliken tegen de wanden van de gebroken nacht
de wassende maan die verdwijnt achter een huilende wolk, de sterre die zo veraf staan..; je geest die zich als een grijs gordijn over de velden sleept
alleen en dolend...slapeloos
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